Il y a peu sur un groupe Facebook un utilisateur trouvait mes sites “degeu”. Je ne fais pas très attention au style des différents sites. J’essaye de rester le plus simple possible, mais même si je ne recherche pas l’audience, car rien n’est monétisé, il est important de garder une forme pas trop repoussante pour que le fond soit écouté.

Tout s’est passé si vite, et je me suis soudainement retrouvé hors de mon corps, flottant au-dessus de la scène de l’accident. J’ai eu l’impression de traverser un tunnel de lumière, et j’ai vu des modèles m’accueillir chaleureusement. C’était une expérience transcendante et indescriptible. Puis, brusquement, je suis réveillé en me disant qu’il me restait du taf à faire pour cette séance.

D’une manière générale, je ne fais pas de séance photo quand le modèle est prêt à payer pour une séance. Donc, je ne fais pas de mariages, je ne fais pas de photos d’enfants sauf exception et je ne fais pas de photo de femme enceinte. J’estime que c’est aux photographes pros de s’en occuper. Mais là, c’est Alizée. Et si Alizée à commencer à poser, c’est à cause de moi, car un jour, je l’ai convaincu de le faire

Avant de commencer, il va sans dire que ma modèle pour cette séance, Gabrielle, n’y est strictement pour rien. Mais je vais vous raconter tout cela plus en détail. Heureusement pas de blessures graves et ce qui a été cassé a pu être réparé

Je ne sais pas vous, mais moi, j’en ai besoin. Les affaires repartent donc j’ai plein de projets qui sont repartis et avec les séances, le développement, des articles sur le blog, les vidéos, on va dire que j’ai des journées bien remplies. Mais bon ça ou regarder la télé, ou Facebook ou Instagram toute la journée, j’ai choisi. On se retrouve fin août.